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 Fatal ― L'enfoiré.

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Invité
Sujet: Fatal ― L'enfoiré. Fatal ― L'enfoiré. EmptyMar 30 Aoû - 17:22

Courez, courez, vous n'm'attraperez pas.

PSEUDONYME : Fatal.
NOM : Miller Hoffmann.
PRÉNOM(S) : Freddie {officiellement Frederic.
QI: 182.
DATE DE NAISSANCE : 22/03.
ÂGE : 16 bourrelets.
SEXE (✔) : ✔ M ❒ F
ORIGINE : Germano-américain.
ANCIENNETÉ : Février 2011.
Fatal ― L'enfoiré. Cartmanicon


C'est Moogli qui joue avec Baloo quand on s'accouple.

Fatal ― L'enfoiré. 2lasf3p Fatal ― L'enfoiré. 2z4ij9z
Couleur des cheveux : Châtain, voir châtain clair.
Couleur de la peau : Bah rouge à pois jaunes, normal, comme tous les humains.
Tatouage/Piercing ? : C'est pour les pédés tout ça.
Couleur des yeux : Jaune pipi très foncé. Marron quoi.
Taille en centimètres : La taille d'Obelix. Lole.
Corpulence: Ce jeune gaillard possède une ossature plus ou moins importante.



Un gros poisson dans une petite mare.

Première qualité, Fatal est un type cool, il est pas du genre à se prendre la tête ou prendre trop au sérieux les gens.

Mine de rien, ça peut paraître bête mais, de par son imposante carrure et son gabarit semblable à Obélix, notre jeune Fatal pourrait sembler protecteur. Comme ça, il peut faire fuir les petites tapettes. Mais en général, c'est lui qui flippe, ce n'est donc qu'un cliché du gros.

Ce qui est bien en traînant avec ce Baloo, c'est qu'il est plutôt marrant et courageux. Pas de peur, grande gueule. Vol, arnaque, délit mineur. Tout y passe. D'un point de vue d'adolescent, c'est vu comme une qualité.

Creusons autant qu'on le peut. Sans vouloir paraître exagérant, il est... comment dire ça avec crédibilité, attachant. Oui, même si c'est le genre de gars pourri jusqu'à la moelle, on peut finir par s'en attacher. Comment est-ce possible? Tous les amateurs d'extrêmes, par là!

Notre Baloo national est tout de même astucieux pour élaborer tout types de plans débiles, tous tordus les uns que les autres. Ce qui voudrait démontrer une certaine preuve d'intelligence? Sûrement.

    Parmi ces innombrables défauts, il est plus que tout raciste comme pas deux. Seulement raciste? Bien évidemment que... Non.

    Lâche. L'amitié? Un gros délire. L'amour? MINI. Mot Inconnu Non Identifié. La trahison est un adjectif qui a tendance à ne pas vouloir le lâcher. Il faut dire, ça lui colle parfaitement à la peau.

    Il possède complexe de supériorité qui a dû se développer. C'est un complexe d'infériorité, un complexe physique qui s'est transformé, évolué en un complexe de supériorité. Ça pourrait en faire chier plus d'un, mais on peut s'y habituer. On peut le faire.

    Surtout profiteur, il ne faut pas négliger le fait que quand il fait quelque chose, c'est pour en profiter. Ses intérêts en premier, sa vie en premier, son égo en premier. En même temps, il est parfait. Y'a rien à dire dessus.

    D'accord, faut finir par l'avouer, son égoïsme et son égocentrique est un point important chez Fatal. Il fait ce qu'il veut, ce qui lui chante. Il n'aime pas se faire marcher sur les pieds, sa pseudo-dignité n'est qu'une couverture pour cacher son ennui de vivre.
Je suis ton leader charismatique qui débarque dans ta putain de triste chienne de vie comme un boulet de canon. Qui repart en t'écrasant comme une pâte à crêpe et qui détruit tout sur son passage. Si je te parle, c'est que pour en tirer profit, ou pour me foutre de ta gueule, différente de la mienne. Qui, contrairement à toi, est parfaite. Mais tu peux me considérer comme ton ami quand même. Je suis le sale enfoiré qui te dupe comme un débutant pour obtenir ce que je veux. Au début, lorsque tu feras ma connaissance, je serais ta peine, ta compassion, ta haine. Je suis ce que tu n'aurais jamais voulu être, un cauchemar vivant. Tu as l'impression que les pires côtés de l'homme sont en moi, tu as l'impression que je suis un humain a qui on a exagéré les traits de caractère, mais ce ne sera pas le cas. Je suis raciste. Les bridés, je les envoie cultiver leur riz. Les noirs, je les réduit en esclavage et les fou à poil, pour qu'ils bougent leur boules surtout. Les juifs... Les sales juifs pardon, je leur crève les yeux, leur casse le nez, leur arrache les tripes et je les brûle vivants. Les roux, les trop dark, les sorcières, les putes, les homos. Parce que je suis ma propre perfection. Si parfait que je m'éblouis. Victime de moi même, victime de mon propre caractère. Obligé de rabaisser les autres pour essayer d'aimer ma de vie, un vrai p'tit nazi. Je suis ce cri strident qui déchire le silence, éventuellement tes tympans. Je suis ce fusil qui termine la paix et qui la fait pleurer. Je suis ce tremblement de terre qui n'hésite pas à trahir ma propriété. Je suis cette tâche de vinaigre qui te ruine ton nouveau teeshirt préféré. Je suis cette goutte de sang sur ton pantalon blanc qui te fou la honte pendant trois semaines. Je suis ce connard né pour faire chier. Je me moque, châtie, embête jusqu'à tes limites. Je deviens avec une bonne progression ta honte, ta crainte, ta peur. Je ne connais ni l'échec, ni l'abandon. Je suis possessif et las, peut être que je suis comme ça parce que je ne me supporte plus, parce que je n'aime plus ma vie. Mais je suis quand même boomerang qui vient t'exploser la gueule au moment où tu t'y attends le moins. Je n'ai ni rêves ni ambitions, mon but avant d'atteindre le paradis, c'est de faire chier le plus de cons possibles. Je suis un désespéré, je me dois d'être complètement éradiqué de ce monde. Je ne dois pas être en vie, mais il se trouve que l'être supérieur à moi – parce qu'on trouve toujours plus fort que soi, ne veuille pas que je meurs avant d'avoir appris une putain de bonne leçon. C'est aussi peut être pour cela que je n'ai peur de rien, j'avance comme Obélix, fier et fort. Je suis le cours de ma vie comme une rivière. Je fais des conneries H24. Mais je ne laisse personne m'arrêter dans ma bêtise, parce que personne n'en est digne, personne n'en est capable. Si tu n'es rien de spécial, ni noir, ni beurre, ni jaune, ni roux, ni juif, ni pute, ni homo, ni ma cible, je sais me montrer serviable, respectueux et fidèle. J'espère bien que tu y crois. Tu finiras par apprécier mon sourire, aussi espiègle soit-il.
Raciste. Antisémite. Homophobe. Xénophobe. Sexiste. Agressif. Con. Violent. Vulgaire.
Bonjour, bonsoir. J'espère qu'on s'entendra, toi et moi.
Je suis ton homme, brave. Regarde moi, j'existe, je suis là, devant toi. Je suis ta réalité. Ne m'aime pas. Tu ne pourras jamais.



I'm easy come, easy go.

    Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en supprimant les réponses inutiles. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.


    Définissez vous en une phrase.
    1. Non.


    Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
    1. Une corde.


    Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
    1. Finnegans Wake de James Joyce.


    Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
    1. « Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »


    La petite manie dont vous vous passerez bien ?
    1. Faire des private jokes.


    Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
    1. Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...


Mets toi à genoux quand tu t'adresses à la légende !


Fatal ― L'enfoiré. 259hkyh Fatal ― L'enfoiré. Or6mo3

J'attends maman. Voilà un mois que je l'attends. Elle m'a promis de venir me chercher. J'ai peur, j'aime pas les gens ici. Y'a trop d'enfants, insouciants, et tous semblent faire la même chose. Attendre.

Denver ― 2001.
4:00AM APRIL.
C'était un jour de pluie. Je me souviens et me souviendrais à jamais de ce jour. Une pluie torrentielle, des éclairs, un ciel obscur comme je n'en avais jamais vu. Cette impression bizarre que le ciel s'accorde aux évènements marquants de ma vie. Il était quatre heure du matin quand ma maman est venue me réveiller. J'avais six ans, et j'étais un gosse plutôt calme, gentil et sans problèmes apparents. Elle est venue, m'a fait un tendre bisou bien baveux sur la joue et m'a fait levé, contre mon gré. J'étais putain de bien dans mon lit. Je dormais presque debout, lui demandant où on allait. Deux heures de route en voiture, maman affichait une mine grave. En fait, j'ai dormi tout le trajet, alors je ne sais pas si c'était dans un rêve, ou la réalité. Mais même en dormant, je sentais que quelque chose n'allait pas. C'était trop inattendu. À ce moment là, j'aurais déjà du deviner que j'allais passer une chienne de journée. J'aurais vraiment dû le deviner, j'aurais pu faire quelque chose pour éviter ça. Tremblant de froid, je lui tenais fermement la main et regardais le bâtiment effrayant et immense qui semblait me regarder avec de gros yeux, pour m'intimider surtout. Il se dressait devant moi et me faisait trembler de peur, je ne voulais pas y entrer. J'avais peur que le grillage m'emprisonne et ne me laisse plus jamais sortir. Le portail gris et énorme me fit penser que c'était une prison. Main dans la main, elle me guida jusqu'à l'entrée. À ce moment là, j'aurais dû la supplier. Si j'avais su, j'aurais pu la supplier de me laisser vivre avec elle – si j'avais su, mais on refait le monde avec des si. Moi, je forçais un peu. Je trainais les pieds et je ronchonnais comme pas possible. Si j'avais su, j'aurais été encore plus sage. Mais je la regardais parler à une vielle bique, toujours pas content. Cette dernière posa un regard des plus tristes du monde sur ma petite personne. Ma maman me poussa gentiment vers cette femme horriblement laide – avec ses rides de partout. « Je viendrais te chercher, mon chaton. » Et je la regardais partir les larmes aux yeux, je n'avais jamais vu de dos qui me paraissait aussi triste. Ça devait être son aura qui m'a poussé à croire qu'elle ne reviendrait pas.

Deux mois que je l'attends quand même. Tous les jours, je me colle à la grille pour guetter son arrivée. Mais je ne vois que de nouvelles têtes, les mêmes regards tristes et des larmes en prime. Je finis par comprendre, j'arrête de me voiler la face. Mais je ne peux m'empêcher de me mentir à moi même. Elle ne reviendra pas, Frederic. Je me voilais la face pendant ce temps pour éviter de souffrir. J'ai noyé mon chagrin dans la nourriture, et j'ai perdu toute confiance. J'ai perdu tout amour. Je me voilais la face pour ne pas détester, ne pas haïr. Je voulais aimer. Mais je n'ai pas pu me contrôler. J'ai perdu confiance en l'humanité. Elle aurait dû m'abandonner plus tôt si elle voulait que je devienne un bon garçon. Elle m'a abandonné trop âgé pour que je ne comprenne pas. Je n'ai aucun copains, parce que pour la même raison, je suis devenu violent et agressif à en mourir.

Plus de neuf ans que je vis dans ce merdier. La vie, la vraie merde. Je passe mon temps à tabasser et insulter ce qui bouge. Personne ne m'aime, je suis trop con. Je suis trop raciste, trop différent. J'appartiens à un autre monde, qui ne devrait pas exister. Je suis le gosse le plus méchant de la Terre. Le plus emmerdant, le plus chiant et le plus énervant qui puisse exister. C'est ce qu'ils disent de moi. Que je ne devrais pas exister, que je devrais mourir pour mieux renaître. J'ai appris à détester, j'ai appris à encaisser les coups au lieu d'apprendre à aimer. J'ai appris qu'il fallait être différent et qu'il fallait ne pas se faire écraser pour vivre. Parce que je veux vivre. Pour je ne sais quelle raison, s'il m'en reste encore, je dois vivre. Et je vivais bien, j'enchaînais conneries sur conneries, même la vielle bique tendre comme pas deux ne l'était plus avec moi, je me retrouvais toujours à faire des truc de fous pour pouvoir me faire remarquer. J'avais chié sur le bureau de la vielle conne, j'avais brûlé le lit d'un autre gosse, j'avais déclenché une bataille de nourriture, j'avais volé les chaussettes du gardien de l'orphelinat parce que j'avais découvert qu'il ne dormait pas sans. Je voulais être heureux, et bien je n'ai eu que la douleur d'être seul. La douleur de devoir frapper un autre en rigolant, et le voir à l'hôpital. Ne pas vouloir m'excuser parce que je suis trop fier de ce que je suis. Je me suis persuadé que j'étais un être humain infâme qui ne devrait pas exister. Je me garde en vie, pour pouvoir encore mieux détester les humains.

Mais je crois que je ne suis pas capable d'haïr complètement quelqu'un. Je crois que je suis condamné à apprécier même ceux qui désirent ma mort. C'était un jour comme les autres, mais le ciel me disait que ma vie allait peut être changer. Je l'ai senti, mais je ne pouvais pas prédire ce que j'allais vivre. J'avais peur, en réalité, que ce soit encore pire que je le premier vrai événement de ma vie. Il n'en était rien. Ne trouvant pas le sommeil, je suis sorti de ma chambre en pleine nuit, le ventre vide. J'ai tout le temps faim, matin midi soir nuit. Je dois manger le quadruple de ce que mange un gosse ordinaire. Je n'ai jamais été ordinaire. Je descendais donc dans l'énorme réfectoire, qui malgré toutes ces années passés, me paraissait inconnu et terriblement froid. Deux pédés. C'est là où j'ai rencontré, ô grand bonheur, ces deux homos de merde. Un juif. Un sale juif. Un putain de juif de merde. Je déteste les juifs. Sans raison, certes, mais je les déteste, comme la plupart des gens sur cette Terre. Au moment où je l'ai traité de sale juif, gâteau dans la main gauche et pain au chocolat dans la main droite, m'a lancé la sienne – de main droite – dans la gueule. Je lui ai explosé mon gâteau rose et tout mignon dans l'œil. D'habitude, je ne suis pas violent avec ma nourriture, mais personne n'avais osé touché à la légende. Je suis la légende, jeune insolent. Ne me touche pas avec tes sales pattes de juifs merdeux. Crevure. Mais étrangement, même après m'en être sorti avec une belle douleur dans ma joue graisseuse, je ne peux pas nier que je suis resté avec eux. Un vieux drogué émo à en mourir, et un juif roux inutile. Et d'autres, que je ne saurais nommer. J'étais le détesté du groupe, j'en avais conscients. Mais j'ai découvert que ce n'était pas moins drôle de faire des conneries à plusieurs. Moi, j'ai toujours des idées de bêtises, ça fuse dans ma tête. Et ils me suivent, parce qu'ils sont aussi cons que moi. Sauf que moi, je me débrouille toujours pour m'en sortir, quitte à dénoncer les autres pour.

Et puis un jour, alors que mine de rien je me trouvais heureux, ils ont disparu. Je savais qu'il se tramait quelque chose de pas très net. Mais je ne m'attendais pas à ce que de foutus orphelins puissent partir autre part que dans un orphelinat. Et j'ai re-perdu confiance. Je me retrouvais de nouveau seul. Ça ne m'attristait pas, mais je ne pouvais pas m'empêcher de devenir encore plus détestable qu'avant. Peut être que ça aurait pu en être autrement. D'ailleurs, je ne sais pas ce qu'il lui a pris, à la vielle bique. Mais il y a eu quelque chose d'assez étrange qui s'est passé. Elle nous a tous fait passé un test. Un test de QI. Il s'est révélé que j'étais un génie. Un génie, une fierté que je n'ai jamais ressenti avant. Putain de merde, j'avais 182 de QI. J'étais un vrai surdoué, un surdoué caché, certes, mais tout de même. Je ne pouvais m'empêcher de me la péter un peu, j'en ai d'ailleurs cueilli un surnom, le gros crâneur. La vielle bique, pas vraiment surprise vint me voir et m'a dit qu'il fallait que je parte. Je l'ai regardé, et j'ai accepté. Je ne sais pas pourquoi je l'ai fait. Mais j'avais envie de m'ouvrir l'esprit et de partir de ce merdier. Elle m'a dit d'une voix grave que je partais dans la semaine. Je suis un génie.

Wammy's house. J'arrive.




Bienvenue au pays des Schtroumpf.
SURNOM(S) : Mush. Mouton. Un biscuit.
DATE DE NAISSANCE : 04/04.
ÂGE : Gn.
SEXE (✔) : Assez souvent.
AVATAR : Eric Theodore Cartman {South Park.
DÉCOUVERTE DU FORUM : Euh. Schtroumpf.
EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? Schtroumpf again.
Fatal ― L'enfoiré. Howl8


Dernière édition par Fatal le Jeu 22 Sep - 17:27, édité 8 fois
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End Fatal ― L'enfoiré. End10
End
Fatal ― L'enfoiré. 490550Shape3

Feuille de personnage
Wammy’s: House
Double Compte:
Âge: 17
Sujet: Re: Fatal ― L'enfoiré. Fatal ― L'enfoiré. EmptySam 10 Sep - 7:57

Bienvenue sur WH* 8D Bon Dieu, j'arriverai jamais à appeler Fatal Fatal, je serais toujours là, 'CARTMAAAAAAN'

Brefu Bref.

TOn personnage est donc un Alter ! J'espère que ça te convient o/

Bon courage pour finir ta fiche ~

Lancer de dés effectué
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Invité
Sujet: Re: Fatal ― L'enfoiré. Fatal ― L'enfoiré. EmptyJeu 22 Sep - 17:29

    Fatality, l'odeur de moi.

    Brefff. J'ai fini ma fiche.
    Bonjourj'aibâclél'histoire.
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Pure Pure
Fatal ― L'enfoiré. 384660Alter2

Feuille de personnage
Wammy’s: H / A
Double Compte:
Âge: 17 & 25 ans
Sujet: Re: Fatal ― L'enfoiré. Fatal ― L'enfoiré. EmptyVen 23 Sep - 16:28

Ze valide, sir.
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Sujet: Re: Fatal ― L'enfoiré. Fatal ― L'enfoiré. Empty

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Fatal ― L'enfoiré.

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