Doll est une personne de nature discrète. Sans vouloir se faire remarquer, elle sait tirer profit de ses relations. Cette discrétion a fait naître une timidité hors du commun, elle ne s'approchera pas d'une personne pour faire le premier pas. Bonne vivante, elle sait s'amuser dans la limite du possible. Malgré qu'elle soit bornée et très réaliste, Doll est sensible aux attaques qu'on peut lancer contre elle, comme par exemple une moquerie très déplaisante. Mentalement, le courage ne lui manque pas, c'est ainsi qu'elle bravera souvent les dangers. Notre Doll malgré ses airs de poupée en porcelaine, est très intelligente, ce qu'il l'aidera à mainte reprises dans le monde . Ainsi, pour plaire, mais surtout pour servir ses intérêts, elle a une maîtrise de la conversation, qu'elle peut vouloir charmante comme savante. Mais, un oiseau qui bat mal des ailes ne volent pas, elle a alors hérité de la maladresse de sa grand-mère. Pourtant, Doll peut tomber comme elle peut aussi changer du tout au tout et devenir provocatrice... Le fait qu'elle soit lunatique n'arrange pas les choses, ça les empire parfois mais, souvent, on ne lui en tient pas rigueur. Elle était aussi très gentille, mais quand elle n'a rien à faire, Doll peut réellement être un danger pour quiconque passe entre ses griffes. Elle est curieuse de nature et n'hésitera pas à passer par n'importe quels moyens pour arriver à ses fins sauf si son j'en foutisme s'en mêle et là ce dernier peut faire perdre sa crédibilité à la jeune femme.

Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en supprimant les réponses inutiles. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.


Définissez vous en une phrase.


• Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
  
  
  Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
  
• Une corde.
  
  Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
  
• Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.

Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
[*]« Je comprends ce que tu ressens... »

La petite manie dont vous vous passerez bien ?
[*]Câliner tout le monde.


Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
[*]Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.

Et voilà !

Cher journal, laisse-moi te raconter ma vie avant mes 16 ans,

Je ne me souviens plus, c’est vrai de ma naissance, j’en ai juste eu des échos, des flashes, des souvenir. On m’a dit que j’étais née le 11mais en Russie. Peu être bien, peu être pas. Mes grands parents m’ont dit que je me nommais Ime, pourquoi ? Que signifie Ime pour moi, pour eux, pour mes parents. Je me pose bien des questions aujourd’hui, si tu savais comme des fois, ce prénom me pèse

Doll ferma son journal et le rangea sous son oreiller. Mais reprenons donc ce qu’elle voulait exprimer plus clairement. Lindy est une jeune femme de seize ans, née le 11 mai, elle prit la vie de sa mère et celle de son père. Comment peut-on prendre la vie d’homme en naissant. Par le désarroi, le père : Henry Whitney a suivi sa femme, tel son ombre. La mère de a petite fille, Rose Dalis, laissa à sa fille sa chevelure ainsi que son charisme. Doll devait être une jeune femme accompli…

Recueillie par ses grands parents, Amish et Caroline Dalis. Doll est bien vite relégué au rang de vulgaire objet. Ils lui en veulent d’avoir pris la vie de leur fille bien aimée. Maltraité, battue car elle pleure, ou quand elle a mal, Doll vivra cette enfer jusqu’à ses cinq ans. Pourquoi ? Parce qu’ils avaient enfin trouvé un orphelinat qui pourrait la garder. Sans qu’il n’a à donner la moindre livre. Une aubaine pour eux qui voulait ce débarrasser cette sotte au visage angélique que Henry, leur fils, leur a laissé.

Partant alors pour le pays de Galle, Doll laisse derrière elle l’Angleterre et son climat humide, pour aller en bord de mer, dans l’orphelinat de Caerdydd. La ville est la plus grande de toute la contré, mais pourtant, Doll n’a aucun rapport sociale avec qui que ce soit. Un jour à l’orphelinat, un médecin du nom de Anastasia Abbott est venue faire sa visite, tout les six mois, elle examinait les patients et patientes. Cette grande Dame mérita le respect de Doll. Enfin, elle revint après six long mois examiner de nouveaux, mais cette fois en la compagnie de sa servante et d’une fille de cette dernière : Olloréanne Smith. Affectionnant particulièrement cette dernière, la petite Doll, âgée de 6 ans, voulait tant bien que mal, partir avec elle, retournée en Angleterre. Fuir cette endroit désolé, où les enfants pleuraient pour que quelqu’un les prennent avec eux et leurs dise, tu as désormais une famille.

Les années passait et Doll avait douze ans à présent, elle était devenue une radieuse jeune femme. Pourtant elle tenait encore au crochet de l’orphelinat. Elle n’avait, ni but, ni famille depuis la mort de ses grands parents mais elle avait une amie. Olloréanne qui se déplaçait toujours avec Mlle Abbott lors de ses visites. Elle lui parlait de l’Angleterre, de ses rêves, de sa meilleure amie. Comment ça à meilleure amie, Doll ne voulait pas partager sa seule amie avec une inconnue, même si cette dernière était une noble, jamais elle ne partagerait sa seule raison de vivre, sa seule raison d’exister… Elle avait grandi mais qui savait que une telle haine était tapie au fonde de cette jeune fille au visage d’ange.

L’année suivante, elle était bien décider à faire par de ces sentiment pour la jeune femme, des sentiments amicaux, bien évidement. Mais à sa vue, la vue des yeux rougis d’Olloréanne. Doll s’attendrissait au point de ne plus vouloir lui faire du mal, elle l’aimait trop pour cela. Comme toujours elle accompagnait Mlle Anastasia pour sa visite mais rien n’allait ce jour là. Olloréanne pleurait et pleurait encore. Doll avait beau lui demander pourquoi, elle répondait par un sanglot. Quand, cette dernière lui apprit la disparition de sa meilleure amie, elle fut heureuse, plus que jamais, cette gêneuse était partie. Mais au grand malheur de son amie Olloréanne ne revint pas les six mois suivant. D’après Mlle Anastasia, elle faisait le deuil de cette perte… Doll n’en pouvait plus, comment pouvait-on pleuré les morts au lieu de vivre parmi les vivants.

Le jour même de ses seize ans, Doll devait ce faire examiner par Mlle Anastasia. Evidemment, elle s’était lever tôt pour pouvoir être parfaite, ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas vu Olloréanne, peu être viendrai t’elle aujourd’hui. Elle espérait, oui, Doll espérait tant ces jours où son amie venait la voir. Mais ce matin là, elle n’était pas venue seule à l’orphelinat. Mais accompagné d’un jeune homme au teint plus blanc que la neige, vêtu d’un pantalon blanc et d’une veste gris perle. Ses cheveux argenté était rejeté en arrière n’avait pas laissée indifférente Doll. Mais ce qui avait le plus retenue son attention, c’était la jeune fille au visage de poupée qui tenait son bras, qui était ce. Doll voulait savoir, elle la trouvait si belle. Olloréanne lui présenta alors Céleste Caeles mais sa plus grande surprise fût quand cette dernière lui présenta : Liberté Rowney. La jeune fille qu’elle méprisait tant ce tenait là, devant elle attendant que Doll lui sert la main qu’elle lui avait tendu. Le visage de Doll était radieux, ce demandant comment elle avait pu la détester, cette personne si belle. Puis en fin de journée, Liberté lui avait de nouveau tendue la main et lui demanda : «　Tu veux faire partie de notre famille ?　». Le visage de Doll repris tout son éclat et elle accepta de rentrer à Londres avec ses amis.

Elle rentra alors dans son pays natal. L’Angleterre avait changé tout comme son cœur qui était désormais tournée vers sa famille. Mais tout devait se préciser une histoire, un commencement, une fin, pour une rose il est bien dur de fanée sans s’épanouir au moi une fois, mon histoire, la voici la voilà, commencent par un soir au les arbres avaient froids.

Un meurtre passionnel ? Pourquoi Liberté avait-elle commis ça? Elle tout le monde, laissant seule Doll, orpheline, de nouveaux à l’âge de 13 ans… Elle pourtant vécu et apprit des tas de choses dans la maison qui se décomposait. Des choses passionnantes, l’art, la chimie, la physique.
Mais un jour elle se retrouva dehors, livrée à elle-même… Comment est-elle arrivée à l’orphelinat, elle a oubliée et pourtant, elle aurait bien voulu vous le raconter… Tout ce qu’elle ce souvient c’est l’odeur de la chaire en décomposition dans laquelle elle à passer un an à grandir, autour de différentes poupée de porcelaine, d’où : Doll
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