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 K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America.

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Sujet: K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. EmptyJeu 21 Jan - 21:26

    { Citations de american idiot, Green Day.



    I. I D E N T I T E .
    Kennedy

      N O M : Levi. Comme Levi's yeah 8D
      P R E N O M S : Kassander pour le premier, Lisa pour le second. Les deux ont tellement été employés que ce tous les deux les premiers prénoms en quelque sorte. Hum.
      P S E U D O : Kennedy. Pas à cause de Jackie, mais plus pour John F.
      Â G E : 16 ans tout craché. (l'âge idéal de la Mary-Sue.)
      D A T E D E N A I S S A N C E: le 8 Août 1993.
      D A T E D A R R I V E E : le 8 Août 2009, premier jour de ses 16 ans.
      G R O U P E : Dark Nightmares.



    I I. C A R A C T E R E .
    Kennedy


    « Don't want to be an American idiot.
    Don't want a nation under the new media
    And can you hear the sound of hysteria?
    The subliminal mind fuck America. »


      Kennedy présente cette espèce d'immaturité pas tout à fait puérile mais plutôt inconsciente, irresponsable.
      Non qu'elle passe son temps à réclamer jouets et sucreries -mais on n'en est pas si loin, en réalité-, mais qu'elle ait cette impression de bienséance qu'on ne retrouve normalement que chez un enfant bien en sécurité chez ses parents. Un enfant qui sait qu'il sera sauvé de justesse par ses bien-aimés parents s'il a un dérèglement comportemental. Un enfant qui ne se soucie nullement des sanctions autres que les punitions infligées pour avoir menti un peu ou être resté un peu trop longtemps debout, dépassant l'heure strict du couvre-feu enfantin. Un enfant qui ne se rend pas compte de ce qu'il fait, et qui voit ses actions que bien après. Parfois il en éprouve des remords, mais la plupart du temps c'est passé alors c'est oublié.
      Disons que tout son mental repose sur ces quelques phrases d'un exemple bien plus que banal. Peut-être l'exemple d'un enfant aisé, tranquille, gâté, riche même. Pas non plus le bourreau de ses parents car ce sont les héros mais presque. Malgré cette simulation de confiance -fondée sur rien pour elle, car elle n'en a pas, de parents réels-, comme un enfant, elle pleure, se met en colère, rit pour rien. Non que les ombres cachées dans l'ombre du placard la terrorisent. Il en faut bien plus pour faire peur à la fière Kennedy. Et puis ce masque d'argile peint de couleurs diverses et variées la protège mieux que quoi que ce soit. Quoi de mieux que de se répéter qu'on n'est nullement effrayé pour ne pas l'être ? Quoi de mieux que de redresser la tête pour ne pas voir les obstacles -pourtant évidents- et avancer aveuglément ? Mieux vaut prendre le monde à son sens chromatique. Non visuel, car tout serait gris. Il faut déformer, coloriser, retoucher. Ainsi ce gratte-ciel couvert de brume devient une girafe exploratrice. Une grave dispute peut devenir une inoffensive chamaille qu'on pourrait réparer d'une distribution générale de chocolats. En revanche, si l'imagination ne peut plus rien faire, qu'elle a poussé ses derniers retranchements, là, il n'y a rien à espérer. Si le fantastique ne peut rien, le réel encore moins. Et là, désespoir et tristesse envahissent tout le quartier resté morne, inquiétant, peut-être même horrifique. Les ombres inconnues de la chambre d'enfant surgissent, de nulle part, facilement, sans gêne. Et là, l'enfant concerné ne peut qu'attendre que tout cela passe, vite, vite. Le plus vite possible. Et si à force d'attendre, même longtemps, il n'y a toujours rien, il faut trancher le nœud gordien et recourir à la violence. Quand la nuit triomphe et qu'elle étouffe, il faut respirer et crier, pour que le noire s'en aille, que de l'aide vienne. Crier, taper, pas dans de gémissements ou des râles, mais une voix assurée, convaincante, forte, et emplie de colère. Il ne faut pas trop déranger la clarté. Sinon l'équilibre de la justice penche du mauvais côté. Et cela est très mauvais. Il faut alors taper dans la balance pour qu'elle se rééquilibre. Et puis si ça ne marche pas, elle casse.

      Évidemment, on ne peut toujours rester un enfant. Même Peter Pan au fond n'était pas si gamin. Car s'il n'avait pas la maturité morale pour accepter de grandir, il avait celle de la logique. Sans autant de stratagèmes, il n'aurait jamais vaincu ses terribles ennemis. Kennedy présente une sorte de loquacité, une réflexion un peu meilleure que cette résistance aux sentiments qui l'envahissent trop vite. Ne virons pas non plus dans le côté combat psychologique du samouraï ou du joueur de go afin de trouver la meilleure solution. Elle peut paraître pour une sans cervelle, mais même par l'absence de stoïcisme s'est cultivé un pragmatisme, d'ailleurs chez elle plus tôt que chez les autres enfants. Elle a alors perdu le bloc entier innocent et immaculé d'esprit imaginaire pour un peu toucher terre. Peut-être dommage, mais sans, ce serait une personne complètement déséquilibrée. Car elle n'est pas si extraordinaire que ça. C'est un individu comme un autre, certes avec un esprit créatif plus poussé, peut-être une observation aigüe, mais elle a beaucoup de défauts aussi. Comme ce côté girouette.
      Et puis, cet esprit logique ne peut pas que servir à la vie avec l'environnement. Parfois elle s'en sert complètement autrement, se détachant de son esprit ludique. Si elle voit un intérêt par un côté, elle fera tout pour justement l'obtenir sans trop de peines -surtout physiques-. L'intérêt matériel l'appâte beaucoup, réellement, et cela vient de ce qu'on a dit plus haut, du syndrome de l'enfant gâté. Elle voudra toujours plus. Toujours plus. Oh cette écharpe ne lui suffit pas il lui faut un bonnet et puis des gants et puis un manteau et puis tous les autres vêtements et une fois qu'elle les a tous elle voudra renouveler son écharpe trop vieille et adapter tous les autres vêtements à ce nouvel habit.
      Si elle n'a pas ce qu'elle veut, elle se met alors dans une de ses colères soudaines et pas très rares.
      Enfin pas rares... hum. Elle ne cache pas ses colères, qui sont à vrai dire assez fréquentes. Mais ça, c'est des colères aériennes si j'ose dire. Oui bon elle crie, tape, insulte, jure, fort, oui, mais ça ce n'est rien même si ça arrive assez souvent. (Elle aime donner des coups de poing. C'est de l'adrénaline en plus.) Les vraies colères ou la rancune et le désir de vengeance se réveillent sont un cas très particulier pour la demoiselle. A vrai dire la majorité des êtres humains ne font pas toute une maladie et ne deviennent pas tous des Kira, heureusement. Ce qui veut être exprimé chez Kennedy, c'est cette aptitude à pardonner même sans sourire pour cesser les enfantillages.
      Oui, vous m'avez bien entendue, cesser les enfantillages. Cette fille que j'ai décrite comme une gamine pas possible. Si vous vous fiez en fait à ce qu'on dit d'elle (donc ce que je viens de dire), attention. On ne l'a jamais vraiment su mais elle s'est pas très nette.
      Ce qu'on voit en général de notre Kassander, c'est qu'elle passe son temps à se battre. En fait voilà.
      Capitaliste, chiante, brutale et hautaine. Son amour pour l'argent n'est pas encore évoqué, hein ...


    I I I . PH Y S I Q U E .
    Kennedy


    « Well maybe I'm the faggot America.
    I'm not a part of a redneck agenda.
    Now everybody do the propaganda.
    And sing along to the age of paranoia.  »


      Voir Kennedy s'agiter est assez comique.
      Elle a hérité du teint de ses ancêtres Irlandais. Les Irlandais, on les imagine roux, oui, et les roux ont en général le teint très pâle. On doit bien avouer qu'elle l'est. Et vous allez me dire, oui blabla, mais c'est beau le teint blanc, c'est le tableau de la jeune femme parfaite, avec les veines bleues qui se voient eh bien NON. Parce que non seulement sur ce teint de craie ses cernes sont dingues mais elle rougit très vite. Et vous allez me dire, mais siii c'est beau une jeune fille qui rosit de pudeur, c'est joli comme un cœur. Et bien là encore NON. Parce que dès que le mercure monte un peu les joues de Kennedy prennent une teinte rouge violacée assez violente, transformant la cruche de lait en aubergine bizarre.
      On va cesser cet exposé sur la rougeur et la kératine de Kennedy. Il y a d'autres choses plus intéressantes chez elles. Évidemment. On pourrait expliquer par ce phénomène chromatique le peu d'envie qu'elle a à sortir et à rester cloîtrée à coller son nez contre l'ordinateur. Elle s'y absorbe tellement qu'elle en oublie de manger, de dormir. Elle n'est pas très grande, ne dépassant pas la moyenne des tailles; en revanche comme sa corpulence est filiforme, on en a l'impression. Mais on en a trop impression. Elle pratique également de façon très assidu le sport. Elle les aime tous (mais pas le base-ball). Elle a parmi ses affaires personnelles d'ailleurs des gants de boxe, d'autres affaires du même sport et autres survêtements chouettes (hum).Si bien qu'elle passe plus pour une asperge qu'autre chose. Une asperge couleur aubergine, chouette.
      Une autre couleur étrange se mêle à ce mélange; cet espèce de rouge. Ses cheveux, rougis, cramés, brûlés, vont dans tous les sens. Des mèches raides tombent autour de son visage, certaines sont bouclées, d'autres juste anarchistes. Ces autochtones capillaires peuvent faire ce qu'ils veulent car elle ne s'en soucie réellement jamais. Enfin, plutôt qu'elle aime à se les voir déborder de partout, ses cheveux drôles. Des cheveux couleur tomate (comme quand elle est exposée au soleil), couleur crabe, couleur piment, couleur poivron, couleur piment, bref. Mais des cheveux roux à ce point-là, on reniflerait peut-être l'odeur d'une teinture. Eh bien c'est naturel. Ça peut sembler nébuleux mais il faut juste se dire que dans le sombre, ses cheveux si pétillants et gais retombent se tristesse, s'éclatent de façon disparate.
      Enfin il faut arrêter cet exposé numérique tout court. Les couleurs, c'est bien intéressant mais aucun humain n'est rien sans ses expressions. Elle aime à arborer ce sourire féroce qu'ont les requins. Un sourire carnassier qu'ont les hyènes. D'ailleurs, son rire leur ressemble. Un espèce de ricanement aigu inquiétant. Ou bien un rire sauvage, presque bestial. Non c'est toujours Kennedy que je décris, pas l'homme du Néandertal. Elle n'a pas honte d'éclater de rire ainsi parce qu'en fait on peut croire qu'elle se force. Explication étrange. Elle sourit en permanence donc, comme les hôtesses de l'air, même devant son écran ou dans la douche. Parce que dans la douche, la seule chose à laquelle elle pense, ce sont ses coups. Des coups. Uppercuts, droites et autres. Bref, revenons au sourire. Son sourire de présentatrice. Mais justement, son sourire est l'opposé de ceux des présentatrices blondes. Le sien est bizarre. Elle étire fort ses lèvres, montre toutes ses dents, comme dans un rictus forcé.
      Vous ne l'auriez jamais deviné mais en réalité Kennedy porte des lunettes. Elle ne les met que chez elle (c'est à dire très souvent en fait), pour écrire des lignes de codes.
      Malgré donc cette aptitude à rougir plus vite que son ombre, elle ne cherche pas spécialement à se protéger du soleil. Loin d'être frileuse, elle arbore des vêtements courts, jeunes et provocants. Des vêtements bizarres que peu de personnes mettraient. Une chemise à motifs nippons, un short à carreaux et des sneakers en toile usés sont ses habitudes vestimentaires habituelles. Elle aime pas mal se mettre tout un attrait d'accessoires, des barrettes, des pinces, des badges, des cravates, des nœuds, des bracelets, des brassards, des mitaines, des gants, des colliers de chien bizarres. Underground comme elle dit. Le kaki est très présent dans ses vêtements, l'attrait de l'armée.
      Quand elle parle, c'est étrange. Une voix cassée, pas très agréable à entendre. Elle forme bizarrement les R. Non qu'elle les roule comme un tracteur bolchevik, mais qu'elle les avale. De façon très américaine (très vulgaire à côté des orphelins britanniques). Puis elle utilise un vocabulaire très cru, très bas, très familier. Elle sait aussi tenir un ton soutenu mais se force également à parler de façon incorrecte. Ça amuse. Ça fait passer le temps.
      Ses yeux expriment un grand courage. Des yeux émeraude. Bon je l'accorde ils sont beaucoup plus fades. Des yeux d'un vert marron bizarre, mais étonnamment malicieux et rieurs. Très provocants d'ailleurs. Un regard de chasseur, et non celui d'une proie.


    V I. A U T R E .
    Kennedy


    Don't want to be an American idiot.
    One nation controlled by the media.
    Information age of hysteria.
    It's calling out to idiot America.


      Q I : le meilleur résultat qu'elle n'ait jamais eu est de 188. Mais comme c'est une flemmarde et que ça la fait chier elle ne travaille plus. Le dernier indique 181.
      M A N I E : il fallait s'y attendre. Kennedy tape. Tape tout ce qui bouge; Ou ce qui ne bouge pas. Elle tape, avec ses poings, ses pieds. Si c'est quelque chose d'immobile, elle tape avec un certain rythme.
      R E V E : en premier lieu elle aimerait un peu intéresser Zero. Ou Hurricane. Ou Mello. Ou End. Ou... bref, recevoir un peu d'attention. En second lieu elle aimerait arriver à intégrer la première classe. Pas pour devenir L, mais aussi en quelque sorte montrer qu'elle vaut quelque chose. Puis dans la vie, elle aimerait juste euh vivre tranquille. Voilà. Sinon elle aimerait revoir son frère. Et entrer dans l'armée.
      C A U C H E M A R : elle a très peur des trucs mignons, ne demandez pas pourquoi. Et elle hait les céréales. Les special K. Elle préfère se bourrer de donuts. L'antisémitisme lui fait peur. C'est pour cela qu'elle se sent agressée en permanence. Et quand elle entend du rap elle s'enfuit. Et puis elle a peur de finir seule... ou douce...



Dernière édition par Kennedy le Jeu 21 Jan - 21:45, édité 4 fois
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Invité
Sujet: Re: K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. EmptyJeu 21 Jan - 21:28

    V . H I S T O I R E .
    Kennedy


      F A M I L L E :
      « Bah d'abord il y a Robert Atoll. Un businessman. Il est ingénieur en aérospatial. Puis il y a Helena Atoll, ma belle-mère. Une Suédoise bête, sans plus. Et enfin Shawn. Enfin je l'appelle Bart. Père l'appelle Harry. Alors je sais pas ce qu'est son prénom. Un gothique louche qui rêve de me voir devenir emo, lol. C'est un intello ce mec. Et il n'avait aucune rancune en me voyant je sais pas, le dépasser sans bosser. Eh, y en a dans le crâne, dans cette tignasse de lion. Bah le goth m'énerve mais il me manque. Voilà. »
      O R I G I N E : mère Irlandaise, mais Américaine.


      R E L A T I O N S :

      « Bah NEAR il est neutre quoi. Osef de lui. LUST elle est belle. Putain. Elle a failli me persuader d'entrer dans son groupe. Mais bon, c'est trop pour les gonzesses. Y a MATT . Quel con. Et MELLO . Putain. Mello. Je sais pas s'il a pigé que j'étais une fille groupie de lui. Enfin il me frappe, c'est chiant. On pourrait tourner un combat Matrix à nous deux. Ce couillon accepte que les mecs dans son groupe. J'aurais aimé entrer chez les Choco. Le meilleur c'est ZERO . Il ressemble à Bart, lol. C'est un peu pour ça que je suis folle de lui. Mais ça je voudrai jamais le reconnaître. Y a HURRICANE sinon. Comment il roxxait en cours de sport, la première fois que je l'ai vu. Il foutait rien mais il avait la classe. Ou END . Putain, End. Si j'avais su plus tôt qu'il était chez les DN, je me serais pas battue avec Mello. Et euh bah SHADOW . Il fait grave flipper mais il me rappelle Bart lui aussi. BEE lui ressemble aussi mais qu'est-ce qu'il est nul lui D< En bad boys y a aussi SETH. Et son jumeau LETHAL. Ils sont orgasmiques. Hem.»


      H I S T O I R E:

      « Quand je l'ai vue pour la première fois, Kennedy, je me suis demandé si elle ne craquerait pas à la Wammy's House.
      Bah, un enfant qui a 6 ans, on ne peut pas lui poser une théorie de future baudelairienne, mais je l'ai senti dans ce regard perdu, ce décembre 1999. Elle parlait à peine. Je lui avais demandé ce qu'il s'était passé pour qu'elle se taise comme ça. Elle a dit quelques mots sur Berlin avec un fort accent d'anglais occidental. Elle a parlé de sa mère, Theadora, de son oncle, Jones, de la maison de retraite, du violon, de l'aéroport, du musée Kennedy devant la porte de Brandebourg. Je n'y ai rien compris. J'ai senti qu'elle ne comprenait rien non plus. Mais je connaissais en gros l'affaire. Thea et sa fille Kassander étaient venues à Berlin rendre visite au vieil oncle. Un oncle si vieux qu'il était en maison de retraite. Le personnel voulait le transférer dans un asile psychiatrique. Elles étaient venues alors pour l'encourager et le défendre.
      Quand le frère prit son violon après le repas au restaurant et commença à jouer, la sœur en avait les larmes aux yeux. Elle le supplia de s'arrêter. Il continuait, égoïste. La petite n'y comprenait rien. Elle demanda alors à son oncle d'arrêter également, n'aimant pas voir sa mère dans un tel état. Puis lui il a arrêté. Il l'a regardée de son regard hautain, snob. Et il a soudainement crié. Crié que sa sœur était une catin, crié qu'elle ne faisait pas honneur à la famille, que le roi Salomon lui aurait tranché la gorge. Elle pleurait, encore. Alors la petite s'est précipitée pour arrêter son oncle, lui demander d'être clément. Dans sa fureur, il prit la première chose qui traînait sur la table et lui lança. Elle para les quelques feuilles et l'archet, muette. La mère alors intervint pour dire à son frère de ne pas toucher à l'enfant. Et lui, il eut le même réflexe. Mais là, ce qui tombait sous sa main n'était ni une partition ni un archet. Le couteau. Pas un couteau à beurre. Elle ne put se protéger du coup fatal que son frère lui infligea. Après cet incident, Jones Levi fut définitivement envoyé en asile.
      Et elle, Kassander ? En orphelinat. Les autorités allemandes lui détectèrent une intelligence peu commune. Donc elle fut envoyée à Wammy's House.
      Comme j'étais surpris qu'elle ait remarqué le petit musée, je lui ai demandé si elle voulait s'appeler Kennedy. Elle m'a souri et m'a dit oui. Ça devait bien être la seule fois où je l'ai vue sourire.
      Elle s'intégrait difficilement. C'était une enfant turbulente et brutale. Les braves qui essayaient de lui parler étaient repoussés par des coups de poing. Elle ne voyait aucun intérêt dans les cours. Elle parlait peu. Elle était au cours de musique. Elle avait un magnifique violon. Celui de son oncle, j'imagine. Mais elle n'y voyait aucun intérêt non plus. Elle jouait comme un pied;
      Malgré tous ses défauts je regrettai qu'elle s'en aille si vite. Après trois ans passés à Winchester son père vint la chercher. Je vois encore son regard perdu, celui qu'elle m'a lancé, traînée par cet homme inconnu. »

      « D'abord, Lisa, elle était trop bizarre. Elle s'asseyait pour manger, cette pauvre chou. Et elle mangeait donc. Mais après, elle se levait et se barricadait dans sa chambre. Même mon pauvre petit Shawn-chou n,'arrivait à lui parler. Alors que je suis sûre qu'il l'adorait. Difficile, la vie de Kass. Je comprends qu'elle ne veuille pas que je remplace sa mère mais sa mère, elle, elle n'avait pas les cheveux aussi beaux que moi non ? Les cheveux platine comme ça, c'est dur de les avoir naturellement je vous dis ! J'essaie de la coiffer, et de raplatir sa crinière cramée de lion. Et puis je lui achète plein plein de vêtements jolis. Toutes les fillettes aiment les robes à fleurs, non ? Et elle, elle m'a regardée comme si j'étais son esclave et est partie sans un mot. Elle m'outre cette petite mais j'ai peur de devenir comme la belle-mère de Cendrillon. Pas qu'être la méchante mère m'importune, mais si ça se passe comme ça, Kass' deviendrait une princesse, vous voyez ? Et mon Shawn ? Il va pas être le méchant beau-frère quand même ? Le pauvre ! Lui qui est si mignon ! Ah mon pauvre petit ! Et lui, il resterait chez nous, alors que Cendrillon s'amuserait ? Non !
      Enfin Kassander crée pas mal de problèmes aussi.
      L'autre jour, le directeur de son école primaire privée nous a convoqués, Robert et moi.
      Elle s'était furieusement battue avec un de ses camarades qui l'a traitée de juive. Son camarade dit rival car ce dernier à chaque fois rêve de la dépasser. Le directeur dit qu'il est surmené et que ça le fait dire n'importe quoi. Je le sais moi, pourquoi la pauvre Kassander n'arrive pas à se faire d'amis. Ici, à Boston, on est très religieux. Les Juifs sont regardés bizarrement. Elle ne mange apparemment presque rien au réfectoire, à part ses légumes. Elle est paranoïaque, elle pense que tout le monde veut la dévier. Je la comprends un peu. Mais elle n'a pas à s'énerver contre mon Shawn choupi-chou parce qu'il porte des croix et qu'il les brandit ! Enfin ! Quand on s'appelle Helena et qu'on ssaie de réconcilier deux enfants pas possibles, on crie à l'athéisme ! »

      « La crise d'ado, c'est grave quoi. Moi je manifeste ça par du gothique, oui, putain les croix et la dentelle c'est classe. Elle est pas laide pourtant l'autre, là, Lisa, et elle serait sacrément plus belle en noir mais elle refuse de me la laisser toucher. On n'a d'autre choix que de se battre ensemble, continuellement. Au moins ma ceinture (noire, classe hein) de judo me sert à quelque chose. Elle veut m'étrangler avec. Et puis quand on est trop fatigués pour se battre, on joue à Tekken pour décider l'issue du combat. C'est pas mal drôle, j'avoue.
      Une fois elle m'a passé un de ces savons, mon dieu, j'ai cru qu'elle allait m'occire, c'était grave. Elle s'est jetée sur moi après m'avoir mitraillé de boîtes de mouchoirs. Et puis quand je l'ai vue pleurer comme ça, de façon si touchante, si emo quoi (putain c'est la classe une frère et sœur gothique et emo), elle a essayé de me faire avaler mon rosaire et c'était reparti dans une bataille. A quatorze ans elle a de la force n'empêche. Et après s'être bien battus et bien épuisés, on est allés se goinfrer en chips dans la cuisine. Ma mère est arrivée et a commencé à nous câliner comme si notre vie en dépendait.
      Donc on s'est débarrassés de la vieille et puis elle m'a tout raconté dans sa chambre. Sa mère, son oncle, la Wammy's, Putain, je veux dire, ça a la classe cet orphelinat ! Ça doit être un nid d'emos et de gothiques ! Mais bon avec ces psychos surdoués ça m'a pas donné envie, la vache. Et puis elle m'a chassée de sa chambre avec un air froid, putain. Dire qu'elle m'appelle Bart à cause des Simpsons. Je préfère l'appeler Lisa au lieu de Kassander et alors ? C'est plus court à prononcer. Je dépense moins de salive et je profite plus de cette vie merdique...
      Rholala je parle comme elle maintenant c'est tout à fait affligeant. »


      « Bon. Alors maintenant que ce putain de Bartholomé m'a lâchée chuis un peu tranquille. Un jour je lui brûlerais ses croix et il verra, ah merde la face qu'il aura, ça me fera trop laugh quoi.
      Bon Rob' est jamais à ça m'fout la rage commass tain. J'voulais lui demander s'il pouvait pas acheter un autre ampli plus bas à Bart. J'en ai ras le cul moi, de sa gratte au frérot. J'ai sérieusement envie de l'étrangler encore plus quand il me demande de l'accompagner. MA batterie c'est la MIENNE, pigé ? Pour l'énerver alors j'emporte dans sa chambre mon violon et je joue. Bon lol, j'avoue, j'joue comme un pied, comme disait l'autre Roger. Il m'manque ce vioc. Alors je casse les couilles à Bart en pinçant les cordes de ce putain de violon passé de mon cher oncle et j'me barre au club de kicks.
      Mon prof de kickboxing est trop cool. Non c'est un vieux qui ressemble trop à Clint Eastwood et il est chiant mais il nous laisse parler, Tim et moi. Tim c'est un pote timide qui sait pas se défendre. Sa sœur l'a obligé à faire un sport de combat, mort de rire. Alors il a choisi le kickboxing parce que le club il est loin. Puis quand on a un combat ensemble il déclare forfait et va boire, c'est trooop drôle.
      Un soir on s'est faits agresser, lol. Des gars avec un ghettoblaster ont accouru. C'étaient les chiens de l'autre là, Venceslas, le gars qui m'a traitée de youpine. Ils avaient des foulards, trop pitié. Tim m'a tirée. Mais moi j'ai avancé. Ce que j'avais pas vu, trop la conne quoi, c'est qu'ils avaient des battes. Alors ils ont commencé à nous tabasser comme des malades. C'était le jour de mes quinze ans. En aout. Il faisait chaud. Et puis je vois quelqu'un s'approcher par derrière des racailles. Putain, des renforts je me suis dite. Bin non. C'était cet abruti de Bart. Il m'a dit « eh qu'est-ce tu fais là, encore du grabuge ? » enfin il a formulé à sa manière bref. Puis les autre sont commencé à rire et à l'insulter. Mdr. Bart il a sorti son truc anti-vampires là, sa croix, et puis après j'en sais rien je me suis évanouie. »


      « Ah. Ca fait plaisir de vous revoir, miss Kennedy. Même si vous revenez d'une manière malhonnête. »
      « Y a rien de malhonnête, Dumbledore. S'juste que je me faisais tabasser sans arrêt ces derniers mois et puis mon vioc s'est inquiété et m'a renvoyé ici. Le fric qu'il a livré avec a dû vous faire plaisir aussi, na ? Et puis attends, Dumby. Qui a dit que j'allais reprendre mon vieux pseudo pourri ? »
      « Eh bien, nous ne pouvons changer ton identité. C'en est une autre certes, mais elle est fixe. »
      « Mon vieux vous a fourni assez de fric pour... »
      « Ah non. Nous ne changerons pas. Et puis Kennedy ce n'est pas pourri. C'est très classe, au contraire. »
      « Kessturacontes ? C'est naze ! C'est le symbole du capitalisme, de l'idiotie ricaine absolue ! C'est de la connerie ! John Fitzie était CATHO EN PLUS ! »
      « … … … oui mais il était irlandais, Kenne... »
      « ON S'EN TAPE ! La plupart des ricains sont Irlandais ! Et puis cet abruti est intervenu au Vietnam enfin il a pas arrêté quoi et puis il s'est fait tuer bêtement ce couillon, franchement, sortir à l'air en fin novembre... »
      « Stop. J'allais te proposer d'autres test pour réfléchir sur ta classe mais tu iras dans la deux. »
      « Tssk. Franchement. »
      « … Oui, miss Kennedy ? »
      « Tssk j'aurais préféré Koroliev, héros communiste, créateur du Spoutnik, qui a enduré la souffrance du goulag. Un vrai viril lui. Il a tenu tête à ce bâtard de Von Braun. Purée mais qu'est-ce qu ej'ai fait pour mériter ça ? »
      « Non, Kennedy te va très bien. Et maintenant, miss... »
      « … RACLURE. »

      Et depuis ce jour de retour à la WH qu'elle a fini en heures de colle son insulte préférée reste « raclure. »


    V I . L O L A G E E K
    Kennedy


      Votre nom ou pseudo ? June. Hallo. Gun.
      Comment avez-vous découvert le forum ? 9__9
      Que pensez-vous du forum (design, intrigue..) ? Comment l'améliorer ? 9__9
      Quelque chose à ajouter ? Kennedy est une Mary-Sue trop naze, C'est vu par une fan de Kennedy aka Near pour elle.
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End K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. End10
End
K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. 490550Shape3

Feuille de personnage
Wammy’s: House
Double Compte:
Âge: 17
Sujet: Re: K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. EmptyVen 22 Jan - 21:00

Kennedy *w* elle a la classe, et j'appelle pas ça une mary sue, j'appelle ça une fille qui a du goût *ahem*

Et je te valide donc wub j'aurai juste une petite remarque, parfois tu t'embrouilles et on a du mal à te suivre, (enfin c'est peut être moi qui suis conne après tout) mais sinon ça passe, bien écrit, tout ça, et les références en vrac m'ont bien fait rire.

Validée ~> Dark Nightmares
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Near K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. AMD3H
Near
K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. 145218Riddle1

Feuille de personnage
Wammy’s: H / A
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Sujet: Re: K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. EmptyVen 22 Jan - 21:39

    C'est sûr que niveau Mary-sue je m'attendais à une vraie Mary-sue, du genre parfaite que tout le monde aime et qui est plus douée que tout le monde et qui croit que tous les bishos l'adulent... XDDD


    Jolie fiche mon enfant <3
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Invité
Sujet: Re: K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. K E N N E D Y; Subliminal mind fuck America. EmptySam 23 Jan - 11:22

    Bon donc j'ai écrit un petit machin pour qu'on comprenne un peu mieux mais je crois que je suis repartie dans du grand n'importe quoi XD
    Hum K est une Mary-Sue shiny, pour parler en mode pokémon <__<

    T H E A 'S D I A R Y
    Kennedy


      2 Septembre 1992

    Je commence à croire que Robert me nargue volontairement. Ce n'est pourtant pas de ma faute si le chef trouve mes idées bonnes. Je trouve qu'innover dans le matériau léger est primordial. Lui mise sur les moteurs. Koroliev a toujours investi dans la légèreté après ses nombreux échecs avec ses nombreux moteurs. J'en connais un rayon, moi, la sale Irlandaise. Je ne suis pas à Cap Canaveral pour rien. Mais monsieur Atoll ne me prend pas au sérieux. Qu'a-t-il donc ? Aime-t-il me voir me pencher quand je lui apporte son café ? Et pourquoi il ne me les ferait pas payer, ses cafés, pour pousser l'humiliation jusqu'au bout ? Et quand le chef est là, pourquoi il me caresse soudainement mes cheveux alors qu'il me traite toujours de lion mal coiffé ? J'en ai marre. Et sa femme. Elle m'énerve. Elle parle mal anglais, avec un accent tout laid. Elle est enceinte. Son bébé va bientôt naître. Un garçon. Le pauvre. Avec des parents pareils il ne peut que devenir dépressif. Il s'habillera en noir, et ce sera drôle s'il est aussi blond que sa mère. J'en ris d'avance.

      31 Octobre 1992

    Jour d'halloween. Un cauchemar. Le bébé est né il y a une semaine. Il semble être brun. Je l'appelle Bart, pour rire, car ses cheveux sont tout hérissés. Robert n'a pas l'air si heureux d'être papa.

      3 Décembre 1992

    C'est dangereux. Je me lie d'amitié avec Helena, ce soleil ambulant. Elle m'a choisie comme marraine de son enfant. Je ne peux pas.
    On a fêté le lancement. On a tous bien bu. C'était bizarre. Heureusement que je ne me suis pas réveillée à côté d'un inconnu. On ne sait jamais. Je vais faire un test.

      4 Décembre 1992

    Positif. C'est quoi ce délire ?
    Je ne sais pas pourquoi, j'ai pensé à Robert. Je suis allée le voir. Il a l'air encore plus peiné que d'habitude. On s'est parlés. Il sait. Merde. Il tirait une expression bizarre. Il m'a demandée ce qu'allait faire ma famille. J'ai répondu qu'il y aurait un pratiquant en plus dans la famille. Il a tiré une tête encore plus bizarre. J'ai dit qu'on devenait juif par sa mère. Je crois que connaître ma religion l'a plus choqué que de savoir qu'il a laissé traîner ses graines.
    J'emménage dans une maison, petite, je laisse tomber mon studio.
    C'est vrai ça, que dirait ma famille ?
    Mes parents sont morts. Mais mon frère...
    On n'a jamais été proches. Presque trente ans d'écart. Ça lui en fait environ soixante. Il s'est posé à Berlin, lieu de son dernier concert. Je me souviens quand je l'aidais aux répétitions. Quand il a su que je m'en allais en Amérique, je l'ai vu se décomposer. Moi qui lui avais promis de lui acheter une jolie maison, en Israël s'il voulait, pour rattraper autant d'années d'ignorance. Il a pleuré. Mais je suis ici pour gagner cet argent ! Il a pris son violon. Il m'a joué la Danse des Fées. De Tchaïkovski. Ça me faisait toujours sangloter, petite. Ça me rappelle le temps où nous vivions avec nos parents. Enfin je. Ils ont été emportés. Il y a maintenant presque vingt-sept ans. J'étais petite. Je ne voulais pas qu'ils s'en aillent, loin.
    Je le sais maintenant, qu'ils sont morts peu de temps après, là où ils ont été emmenés.
    Qu'ont-ils pensé quand ils ont emménagé à Moscou ?
    Mon frère est retourné en Irlande. Avec sa femme. J'ai dû les suivre. Il voulait me placer en orphelinat. Sa femme non. C'était une femme extraordinaire. Mais très mal vue, parce que Juive aussi. Mon frère et moi aussi mais nous étions plus discrets. Un jour elle est morte. On n'a pas su si c'était un accident ou un meurtre. Ils sont très catholiques en Irlande. Je ne dois pas y penser. L'antisémitisme n'est pas partout.
    Mais chez Robert ?

      10 Août 1993

    Elle est née. Je l'ai appelée Kassander. Comme cette pauvre princesse chez les Grecs qui avait le don de divination mais que personne ne croyait. Je sais que c'est Cassandre à l'origine. Il faut bien que j'américanise un peu, non ?

      5 Mai 1995

    Robert passe nous voir de temps en temps. Il a l'air d'aimer sa fille. Moi aussi je l'aime. J'aime aussi son père. Un homme doux au fond. Mais j'ai de la peine pour Helena. Elle ne se doute de rien. Quand je laisse Lisa -oui the référence- et Bart jouer ensemble, elle essaie de deviner qui est le père et me plaint d'avoir été abandonnée. C'est moi qui la plains.

      7 Juillet 1998

    Lisa -en réalité je préfère l'appeler par ce prénom- est une enfant merveilleuse. Elle a mon visage, mon regard, et surtout la même crinière. Elle se débat farouchement quand j'essaie de l'habiller. Ça me fait rire.

      2 Décembre 1999

    Helena a appris. Elle sait. Elle n'a pas crié, pas pleuré. Elle reste silencieuse. C'est pire. C'est Robert qui lui a tout dit. Je ne sais pas ce que je ressens.
    Je vais appeler mon frère. Lui acheter cette maison tant convoitée. On habitera ensemble, tous les trois. Tranquilles. Heureux.
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